Quatre ans se sont écoulés entre ces deux photos.
Quarante kilos en moins.
Trois tailles de chemises en moins.
Trois tailles de pantalons en moins.
Je peux parler en marchant, car je ne suis plus essoufflé.
Je peux marcher et me tenir debout plus de deux heures, facilement.
Je monte trois étages à pieds sans problème.
Je ne ronfle plus.
Je ne fais plus d’apnées du sommeil.
Je n’ai plus de problèmes pour attacher mes lacets.
J’ai dû rajouter des trous à ma ceinture de pantalons en attendant d’en acquérir une nouvelle, plus courte.
Je ne ressens plus le regard accusateur et jugeant des personnes dans la rue.
Mes amis et ma famille me félicitent de mon avancée.
Quelle fierté! Quel bonheur!
Quatre ans, quarante kilos, 10 kilos par ans.
Ben non. C’est bien plus vaste que ça.
Car le fait d’en avoir marre ne signifie pas que ça a commencé.
J’en ai eu marre de mon poids, de l’image que le miroir me renvoyait, du regard et des remarques des gens, marre de ne pas être à mon aise, marre d’être aussi lourd.
Et ce n’est qu’à partir d’une prise de conscience profonde que mon chemin vers la légèreté a commencé.
J’ai obtenu ma certification de praticien en PNL en 2018 et de maître praticien en 2020.
Ça fait donc en tous cas sept ans que je cherche, que j’analyse, que je teste, que je ressens, que j’applique, que je modifie, que je change, que je reteste, que j’analyse à nouveau, que je pose, que je trie. C’est un gros boulot sur la durée.
La diminution de poids la plus importante, à savoir 30kg, a eu lieu ces deux dernières années. Mon parcours n’est pas terminé, car en plus des 40kg déjà lâchés, il m’en reste 30.
Quel sera mon chemin avec ce surpoids? Je n’en sais rien. Tout est à découvrir, à tester, à analyser, à chercher.
C’est un travail quotidien qui comprend une connexion à ses émotions, une écoute de son corps, une attention de chaque instant et de remise en question permanente.
Alors je vous le dis clairement. Si vous désirez lâcher du poids très rapidement, vous allez vous planter. Ça va vous péter à la tronche à un moment ou à un autre et ça va faire mal.
Je sais, je l’ai vécu.
Une préparation émotionnelle est absolument nécessaire. Ça prend du temps, ça prend de l’énergie. Ça demande implication et investissement envers soi-même. Il y aura des moments de joie et des moments de larmes, des moments de motivation et des moments de doute.
Ça fait partie du jeu, de la vie, du chemin, de vous. Au bout du compte, un enrichissement incomparable, une libération physique et émotionnelle.
Je suis là pour vous accompagner et éclairer les zones d’ombres de votre avancée.
Alors, vous en avez suffisamment marre pour enfin démarrer un vrai parcours ou vous choisissez de souffrir encore?
Gabriel